Le vendredi 17 juin 2011, était organisée par le CNJU, avec l’appui de six de ses associations membres (InSITU, Magistram, SciencesPo Urba, Urbam’s, Urba+ et Urbi) la septième et dernière édition du Printemps des urbanistes. 

Plus de 110 participants, urbanistes professionnels et en formation, enseignants chercheurs, élus locaux et représentant des services de l’Etat ont échangé sur les conditions de l’organisation de la profession. Les intervenants ont souligné à plusieurs reprises le rôle spécifique joué par les instituts d’urbanisme pour la structuration du lien entre formation et qualification, à partir des enseignements de l’enquête nationale sur l’insertion des diplômés en urbanisme.

Le CNJU partage le constat d’une insuffisante structuration de la profession en France : absence de convention collective, absence de dispositif mutualisé de formation permanente, audience encore trop faible de la qualification OPQU, etc. Pour autant, la France a la chance de disposer  d’Instituts d’Urbanisme d’où sortent chaque année 1 000 diplômés. Par ailleurs, le Conseil Européen des Urbanistes (CEU) travaille à une reconnaissance mutuelle des qualifications et diplômes à l’échelle européenne, esquisse d’une organisation professionnelle des urbanistes en Europe. Comment organiser la profession autour et à partir de ses organes de formation? Recherche appliquée, préparation aux carrières publiques, formation continue et validation des acquis de l’expérience : quels leviers actionner pour consacrer les Instituts d’urbanisme comme de véritables réseaux professionnels d’urbanistes ?

Plusieurs thèmes ont été abordés lors de la table ronde finale :

EN TÉLÉCHARGEMENT

– Le programme de la rencontre
– Le compte-rendu 
– Le communiqué de presse

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